notrevievousinteresse
Le blog qui est trop bien pour toi!
Dimanche 19 juillet 2009 à 17:48
Gros bisoux, Mr.ED-209
Publié par Stone Licker ou Mr.ED-209
Samedi 18 juillet 2009 à 19:04
Ahaha! y sont marrants ces asiat', cette vidéo est stupide et nous ne sommes en rien en rapport avec eux, mais c'est une gaudriole ma foi fort cocasse...Bref, nous on aimes bien ça.
Publié par Stone Licker ou Mr.ED-209
Vendredi 17 juillet 2009 à 21:03
MEMORIUM
Dans ce monde où les ressources naturelles se sont taries, l’espèce humaine a de plus en plus besoin de la lumière du soleil. A mesure que le temps passe, les humains s’en sont rapprochés, de même que leurs villes. Les immeubles ont grandi, les routes se sont croisées les unes par-dessus les autres, le goudron a recouvert la cité, encore et encore. Les gens suivaient, mais quand le manque d’argent rend la ville inaccessible, on se laisse dépasser. Dans cette partie de la ville que ses habitants appellent « le rez-de-chaussée », la seule lumière de réconfort que les gens peuvent obtenir, la seule preuve qu’ils ont pour savoir qu’ils sont toujours là, ce ne sont que quelques fissures dans les routes des étages supérieurs qui permettent d’entrevoir le soleil. Dans ces quartiers en ruines où même les nuisibles ne veulent plus vivre, un petit garçon âgé d’à peine dix ans, enjambe à toute vitesse gravats et anciens pneus couverts d’une épaisse couche de poussière. Arrivé devant ce qui lui sert de domicile, il pousse un hurlement à tout rompre : « J’ai trouvé un trésor !! »
Dans l’habitat, si l’on tend l’oreille on peut entendre des bruits de pas ainsi que des grommellements. Des gens sont en train de sortir. Sur les quelques personnes présentes, une femme, sans doute la mère, prend la parole. Elle tente tant bien que mal de calmer l’enfant. Elle lui explique que les trésors n’existent pas, que ceux-ci ne sont que des contes pour endormir les enfants. Le petit, bien décidé à prouver ses dires, rétorque. Il donne la description de l’endroit où se trouve la chose en question, il explique qu’il ne peut la déplacer, obligeant donc les gens à aller voir de leurs propres yeux. Sachant qu’ils ne pourraient avoir le dernier mot, tout le monde décida finalement de suivre le gamin. Il les guida à travers tout le rez-de-chaussée, passant devant d’anciens terrains de jeux oubliés, ou de vieilles maisons abandonnées. La plupart des personnes présentes ne sont jamais allées aussi loin dans la cité ; mais pas lui. Lui, il connaissait tout cela, c’était sa ville. Dès qu’ils passaient un pâté de gravats, il leurs répétait qu’ils arrivaient, qu’ils ne leur rester plus que cinq petites minutes encore. En passant devant une ancienne école, ils virent le cadavre d’un chien. Combien d’entre eux en avaient déjà vu un vivant ? Enfin. Au bout d’un moment, alors que tout le monde commençait à s’impatienter, le gamin s’arrêta. Ils étaient arrivés. Le petit fit quelques pas sur la pointe des pieds, s’accroupit, puis la montra du doigt. Elle était la plus belle chose qu’ils n’avaient jamais vue. Un faisceau de lumière partait du plafond et s’arrêtait sur elle, sa fine tige verte mettait en valeur ses sublimes pétales. Sans la lâcher du regard, l’enfant, comme s’il ne voulait pas la déranger, dit à voix basse : « Regardez, un trésor. »
Mr.ED-209, a robocop killer
Publié par Stone Licker ou Mr.ED-209
Jeudi 16 juillet 2009 à 10:29
Publié par Stone Licker ou Mr.ED-209
Mercredi 15 juillet 2009 à 18:35
Peu d'études ont exploré la prévalence des troubles psychiatriques chez les étudiants universitaires en utilisant des instruments diagnostiques alors que cette catégorie de population "appartient à une tranche d'âge dans laquelle les risques sont importants, et où certains troubles psychiatriques apparaissent ou se développent", soulignent Valérie Guagliardo (Inserm U912, Marseille) et ses collègues. Selon ces chercheurs, la prévalence des types de troubles psychiatriques étudiés sur 12 mois atteint 25,7 %. Les troubles anxieux sont les plus fréquents (15,7 %), suivis de la dépression caractérisée (8,9 %) et des problèmes liés à l'utilisation de substances (8,1 % liés à la consommation d'alcool, de cannabis ou d'autres drogues illicites).
Pour 51,7 % des étudiants souffrant d'un trouble psychiatrique, cela a un retentissement fonctionnel important sur les études ou le travail, sur les relations avec les proches ou sur les relations sociales. La durée moyenne du retentissement, évaluée pour quatre troubles uniquement, varie de 11,6 jours (trouble panique) à 28,3 jours (trouble obsessionnel compulsif). Pour tenter de venir à bout de ces problèmes, seuls un tiers des étudiants concernés ont eu recours à un médecin. C'est bien peu.
Stone licker.
Publié par Stone Licker ou Mr.ED-209