Eh oui, contrairement à mes habitudes, il y a quelques jours(samedi normalement) je suis allez au mc donalds. Rhaaa!!! J'entends déjà le rire des gens sur moi, ils me hantent, ils me tourmentent!!!! Sachez déjà que je ne vais que très rarement dans les fastfood, la dernière fois que j'y suis entré pour consommer, c'était il y a environ quatre ans, et la dernière fois que j'en ai mangé, c'était l'hiver dernier, quand Stone licker avait trouvait un sandwich(je sais plus son nom) encore dans sa boite dans une poubelle du macdo. Eh bon, il faisait en dessous de 0°, il était plus de 3h du mat', et on en avait encore pour 2 à 3h de marche. Mais bon passons, il était près de 14h, le vent remontait peu à peu le long de mes jambes, le silence commence à prendre place, et sans même m'en rendre compte, il était déjà trop tard. Alors que je prenais mon téléphone portatif pour regarder l'heure, je vis la catastrophe en face de moi. Une goute de transpiration perlait le long de ma nuque, hérissant mes poils en passant, malgré moi, je devais faire face au destin. Le bus arrivait dans 20min, et j'avais une immense envie d'uriner. Eh oui, hélas, les seules toilettes dispos étaient celles du macdo, HORREUR!!!!! Et donc, prenant mon courage à deux mains et mon zizi à cinq doigts, j'ai dû me résigner à entrer.
Premier pas en enfer... ça pue, il fait chaud et il y a plein de gens collaient les uns aux autres... C'est exactement comme on me l'avais décrit. devant les caisses, il y avait bien une vingtaine de personnes, un peu comme des porc qu'on engraisses. J'essaye de pousser gentiment les gens pour me frayer un chemin parmi les morts, déjà, une bonne femme au visage rongé par le désespoir, une vie merdique et un ou deux coups de parpaing je pense, parce qu'elle à la tronche de Boris Karlof dans Frankenstein. me crie dessus en me disant d'aller à la queue, je rétorque que je ne veux pas commander mais juste pisser, et je lui demande de ne plus me parler de queue, elle me fait peur. Ouf, j'arrive à passer, je monte au second niveau de l'enfer à la recherche d'urinoirs, en vain. Merde, sans doute au troisième niveau, j'espère ne pas avoir à affronter le diable, j'ai oublié mes autres vies dans mon ancien pantalon. Heureusement, il n'est pas là, du moins je le croyais, quand une main se posa sur mon épaule, chiotte, Lucifer!! Stupéfaction! Je me retourne d'un bond, à demi conscient de ce qu'il m'arrive, la panique trouble ma vision, je ne suis plus certain de ce que je vois, dans ce paysage ondulant, je crois apercevoir un homme, sans doute un habitant des lieux. Et alors que de tente de faire le point sur ce que je vois, il me dit de sa voix rauque:"Jeune homme, vous cherchez quelque chose?" Les salauds, ils me traquent! mais, même malgré l'étourdissement de la situation, je tente de lui répondre d'une petite voix que je cherche les toilettes...... faute grave, il me demande de le suivre, j'ai peur, j'ignore où qu'il va m'amener, je ne veux pas mourir, mais je ne veux pas non plus lui servir d'esclave sexuel pour l'éternité. Quitte à choisir, je préfère mourir, mais me laissera-t-il le choix? Ahah, mon oeil, oui, c'est pas leur genre à ces enflures. Je cherche discrètement le révolver dans ma poche intérieur gauche, sur lequel de nous deux vais-je devoir l'utiliser? Mais avant que je puisse le sortir, l'individu se retourne face à moi, chiottes! Ils ont le pouvoir de lire en nous? D'un coup d'oeil furtif de droite à gauche, je regarde où nous somme, chaque objet contondant peut m'être utile, d'après ce que je vois, nous avons descendu un étage, ils sont rapides les bougres, je l'ai même pas vu venir, je prends le chandelier de la table d'à coté, et je m'apprête à le frapper violemment sur la tête en hurlant "adieu colonel Moutarde!!!!!!!" Mais pas le temps, il me prend de vitesse:
"C'est là les toilettes.
-Ah......... .merci.
-De rien, mais c'est à code, il faut consommer."
Rhaa les putes!!! ils lâchent rien les salauds! Bon tant pis, il ne me restais qu'une seule chose à faire si je voulais un jour sortir de là vivant. D'un geste sûr, j'ai choppé le journal à côté de moi, et j'ai attendu que quelqu'un en sorte. Et au bout d'une minute ou deux, un survivant, comme moi, sorti de l'antre aux parfums menthe des bois, et j'ai pu aller, tout pimpant, pisser et revenir entier pour le bus. Encore, une fois encore, Mr.ED-209 à su vaincre le malin.
Mr.ED-209, a robocop killer
